Le « développement durable » est un projet de société séduisant qui reste relativement théorique en raison du déficit de retours d’expériences opérationnelles et méthodologiques. Organisations hautement durables a pour objectif de rendre compte, de comprendre et d’accompagner la mise en pratique du développement durable au sein d’entreprises et d’organismes publics. À ce titre, cet ouvrage : – définit le concept d’organisation hautement durable en s’appuyant sur les notions de risques organisationnels et sur ce qui est à préserver : « le capital critique » ; – identifie les stades d’apprentissage organisationnel en vue d’atteindre les caractéristiques d’une organisation hautement durable et responsable ; – souligne l’intérêt des indicateurs et pointe leurs dérives d’usage ; – propose des méthodes d’aide multicritère à la décision, notamment pour la mise en place d’une stratégie et d’un plan d’actions développement durable ; – aborde les difficultés opérationnelles du changement organisationnel et discute des moyens et des leviers d’actions pour les dépasser ; – soulève l’importance du rôle de la gouvernance dans ce cadre et propose des fondements et des critères de son évaluation. Illustré de nombreux exemples et d’expériences de terrain, cet ouvrage repose sur un partage des pratiques et sur une approche scientifique. Il propose une ingénierie avec de véritables outils politiques, organisationnels et techniques pour aider les dirigeants d’entreprises et d’organismes publics à opérer un changement vers un nouveau schéma d’organisation axé sur la gestion des problématiques environnementales et sociétales. Organisations hautement durables s’adresse aux décideurs, aux analystes, aux ingénieurs et aux consultants qui ont à répondre à une demande particulière en matière de développement durable et de responsabilité sociétale.

Synthetic biology offers powerful remedies for some of the world’s most intractable problems, but these solutions are clouded by uncertainty and risk that few strategies are available to address. The incentives for continued development of this emerging technology are prodigious and obvious, and the public deserves assurances that all potential downsides are duly considered and minimized accordingly. Incorporating social science analysis within the innovation process may impose constraints, but its simultaneous support in making the end products more acceptable to society at large should be considered a worthy trade-off. Contributing authors in this volume represent diverse perspectives related to synthetic biology’s social sciences, and reflect on different areas of risk analysis and governance that have developed for the field. Such perspectives include leading scholarly discussion pertaining to risk assessment, governance, ethics, and communication. The chapters of this volume note that while the first twenty years of synthetic biology development have focused strongly on technological innovation and product development, the next twenty should emphasize the synergy between developers, policymakers, and publics to generate the most beneficial, well governed, and transparent technologies and products possible. Many chapters in this volume provide new data and approaches that demonstrate the feasibility for multi-stakeholder efforts involving policymakers, regulators, industrial developers, workers, experts, and societal representatives to share responsibilities in the production of effective and acceptable governance in the face of uncertain risk probabilities. A full consideration of such perspectives may prevent a world of draconian regulations based on an insufficient or incomplete understanding of the science that underpins synthetic biology, as well as any hesitancy or fear by the public to adopt its eventual products.

Le « développement durable » est un projet de société séduisant qui reste relativement théorique en raison du déficit de retours d’expériences opérationnelles et méthodologiques. Organisations hautement durables a pour objectif de rendre compte, de comprendre et d’accompagner la mise en pratique du développement durable au sein d’entreprises et d’organismes publics. À ce titre, cet ouvrage : – définit le concept d’organisation hautement durable en s’appuyant sur les notions de risques organisationnels et sur ce qui est à préserver : « le capital critique » ; – identifie les stades d’apprentissage organisationnel en vue d’atteindre les caractéristiques d’une organisation hautement durable et responsable ; – souligne l’intérêt des indicateurs et pointe leurs dérives d’usage ; – propose des méthodes d’aide multicritère à la décision, notamment pour la mise en place d’une stratégie et d’un plan d’actions développement durable ; – aborde les difficultés opérationnelles du changement organisationnel et discute des moyens et des leviers d’actions pour les dépasser ; – soulève l’importance du rôle de la gouvernance dans ce cadre et propose des fondements et des critères de son évaluation. Illustré de nombreux exemples et d’expériences de terrain, cet ouvrage repose sur un partage des pratiques et sur une approche scientifique. Il propose une ingénierie avec de véritables outils politiques, organisationnels et techniques pour aider les dirigeants d’entreprises et d’organismes publics à opérer un changement vers un nouveau schéma d’organisation axé sur la gestion des problématiques environnementales et sociétales. Organisations hautement durables s’adresse aux décideurs, aux analystes, aux ingénieurs et aux consultants qui ont à répondre à une demande particulière en matière de développement durable et de responsabilité sociétale. [4e de couv.]

This book explores the challenges that confront leaders in government and industry when making decisions in the areas of environmental health and safety. Today, decision making demands transparency, robustness, and resiliency. However thoughtfully they are devised, decisions made by governments and enterprises can often trigger immediate, passionate public response. Expertise Under Scrutiny shows how leaders can establish organizational decision making processes that yield valid, workable choices even in fast-changing and uncertain conditions. The first part of the book examines the organizational decision making process, describing the often-contentious environment in which important environmental health and safety decisions are made, and received. The authors review the roles of actors and experts in the decision making process. The book goes on to address such topics as: · The roles of actors and experts in the decision making process · Ethics and analytics as drivers of good decisions · Why managing problems in safety, security, environment, and health Part II offers an outline for adopting a formal decision support structure, including the use of decision support tools. It includes a chapter devoted to ELECTRE (ELimination and Choice Expressing Reality), a multi-criteria decision analysis system. The book concludes with an insightful appraisal and analysis of the expertise, structure and resources needed for navigating well-supported, risk-informed decisions in our 21st Century world. Expertise Under Scrutiny benefits a broad audience of students, academics, researchers, and working professionals in management and related disciplines, especially in the field of environmental health and safety.

The education sector is vulnerable to a broad range of risks that can threaten development effectiveness. Risks can spring from several factors: substantial share of education in total government expenditure, opportunities for discretionary decision making, political interference and patronage networks, weak sector institutions, and nontransparent and inefficient systems. Vulnerabilities may exist at any stage and among any group of actors from policy makers to education providers and to education beneficiaries. Weak accountability increases the likelihood of misaligned priorities, resource leakages, and poor service delivery. This guidance note aims to explain key features of the education sector and identify entry points for mapping governance risks.