Marie-Madeleine is the pen name of a once-famous German Jewish lesbian writer whose sensuality and love for morphine was revealed in many of her bestselling books, originally released in the early twentieth century. Priestess of Morphine: The Lost Writings of Marie-Madeleine contains many of this fascinating woman's works, and also contains Stephen J. Gertz's foreword explaining why Marie-Madeleine has become a rediscovered heroine of lesbian and drug literature. Fascinating images from Marie-Madeleine's lost literature and career supplement this volume.

In 1727, twelve nuns left France to establish a community of Ursuline nuns in New Orleans, the capital of the French colony of Louisiana. Notable for founding a school that educated all free girls, regardless of social rank, the Ursulines also ran an orphanage, administered the colony's military hospital, and sustained an aggressive program of catechesis among the enslaved population of colonial Louisiana. In Voices from an Early American Convent, Emily Clark extends the boundaries of early American women's history through the firsthand accounts of these remarkable French missionaries, in particular Marie Madeleine Hachard. These fascinating documents reveal women of determination, courage, and conviction, who chose to forgo the traditional European roles of wife and mother, embrace lives of public service, and forge a community among the diverse inhabitants -- enslaved and free -- who occupied early New Orleans.

Au moment où elle va rencontrer Jésus, Marie-Madeleine est dans tout l'éclat de sa jeunesse, dans toute la gloire de sa beauté. Elle vit sans frein, à bride abattue, elle est libre. Elle est hors-la-loi et s'en trouve fort bien. Autour d'elle, toute une société la condamne, et en premier lieu les gardiens de la loi, Scribes et Pharisiens, auxquels elle fait horreur. Elle récuse le jugement des juges. Libre, est-elle heureuse? Il y a toujours un moment de bonheur, quand on secoue le joug et qu'on le brise. Pour elle, le moment a peut-être duré longtemps. Les peintres, esclaves de leur oeil, l'ont toujours représentée avec une opulente chevelure blonde, un long manteau de pourpre, comme une impératrice. Elle est l'Impératrice des désirs. Heureuse, Marie-Madeleine l'était sans doute moins qu'elle ne voulait le paraître. Sinon, comment aurait-elle eu le courage, ou même l'idée, d'aller à la rencontre de Jésus, cherchant auprès de lui ce que nul homme ne lui avait jamais donné? Le père Bruckberger nous raconte de sa manière incomparable l'histoire de Marie-Madeleine dont il nous donne, comme dans Marie, mère de Jésus-Christ, une image originale et neuve: celle de la femme orgueilleuse dont le destin bascule, qui se soumet d'un coup et devient l'une des plus proches de Jésus.