"L'auteur a pris le parti d'aborder la chimie organique comme un jeune enseignant qui n'oublie pas comment les étudiants apprennent aujourd'hui cette matière." Ce second ouvrage de Chimie organique de l'auteur (voir également son premier ouvrage : Chimie organique. Généralités, études des grandes fonctions et méthodes spectroscopiques), correspond aux enseignements de 2e et 3e cycle de chimie (Master et Doctorat). Il est structuré en 3 parties : La première partie regroupe tous les hétéroéléments usuels(phosphore, silicium, sélénium, soufre, étain, bore), ce qui est rare dans un même manuel. La deuxième partie est une étude des stratégies de synthèse avec des méthodes d'oxydation et de réduction ainsi que l'étude des groupements protecteurs, ce qui correspond totalement au programme de master 1. La dernière partie est une introduction à la chimie organométallique, avec des organométalliques bien connus comme le palladium et le titane, mais aussi de la chimie du cobalt ou du zirconium. Les "plus" Très nombreuses illustrations en couleurs Au début de chaque chapitre, une rubrique « ce qu’il faut vraiment retenir » met en avant les points essentiels Style agréable facilitant la compréhension du texte Nombreux résumés Contenus mis à jour Exercices pour faciliter l'apprentissage Bibliographie détaillée

How did chemistry and physics acquire their separate identities, and are they on their way to losing them again? Mary Jo Nye has written a graceful account of the historical demarcation of chemistry from physics and subsequent reconvergences of the two, from Lavoisier and Dalton in the late eighteenth century to Robinson, Ingold, and Pauling in the mid-twentieth century. Using the notion of a disciplinary "identity" analogous to ethnic or national identity, Nye develops a theory of the nature of disciplinary structure and change. She discusses the distinctive character of chemical language and theories and the role of national styles and traditions in building a scientific discipline. Anyone interested in the history of scientific thought will enjoy pondering with her the question of whether chemists of the mid-twentieth century suspected chemical explanation had been reduced to physical laws, just as Newtonian mechanical philosophers had envisioned in the eighteenth century.