Reprint of the original, first published in 1883.

Volume 2. This volume contains letters written from December 21, 1877, to September 29, 1878, when, having settled comfortably into London life, James finished preparing the foundation for the career that would define his reputation as a critic and fiction writer. During this time James published "Daisy Miller" and "The Europeans" as well as other fiction, reviews, and cultural criticism.

Comparative Media History is a unique thematic textbook which introduces students to the key ideas underpinning media development. It is an essential first step to a better understanding of both the media industry today and the way in which it evolved over time. The textbook compares developments and influences from a broad perspective, highlighting and contrasting different countries, industries and periods of history in order to encourage an understanding of cause and effect. In a style which is clear, accessible and provocative, Jane Chapman argues that most of the roots of today's media - even the globalizing impulse - lie in the late 18th and 19th centuries. The book emphasises continuity and certain decisive factors such as the social use of technology, the character of the institutions in which it is applied and the political approach of the specific countries involved. The comparative element to this book, both across countries and industries, will enable students to reflect on key issues in media studies, including those of diversity, form, method and choice, both past and present. It will become an essential text for any student of the media and its history. For more information about the book and the author, please see www.janechapman.co.uk

Le jeune prince Karol de Roswald venait de perdre sa mère lorsqu'il fit connaissance avec la Floriani. Il était plongé encore dans une tristesse profonde, et rien ne pouvait le distraire. La princesse de Roswald avait été pour lui une mère tendre et parfaite. Elle avait prodigué à son enfance débile et souffreteuse les soins les plus assidus et le dévouement le plus entier. Élevé sous les yeux de cette digne et noble femme, le jeune homme n'avait eu qu'une passion réelle dans toute sa vie: l'amour filial. Cet amour réciproque du fils et de la mère les avait rendus exclusifs, et peut-être un peu trop absolus dans leur manière de voir et de sentir. La princesse était d'un esprit supérieur et d'une grande instruction, il est vrai; son entretien et ses enseignements semblaient pouvoir tenir lieu de tout au jeune Karol. La frêle santé de celui-ci s'était opposée à ces études classiques, pénibles, sèchement tenaces, qui ne valent pas toujours par elles-mêmes les leçons d'une mère éclairée, mais qui ont cet avantage indispensable de nous apprendre à travailler, parce qu'elles sont comme la clef de la science de la vie. La princesse de Roswald ayant écarté les pédagogues et les livres, par ordonnance des médecins, s'était attachée à former l'esprit et le cœur de son fils, par sa conversation, par ses récits, par une sorte d'insufflation de son être moral, que le jeune homme avait aspirée avec délices. Il était donc arrivé à savoir beaucoup sans avoir rien appris. Mais rien ne remplace l'expérience; et le soufflet que, dans mon enfance, on donnait encore aux marmots pour leur graver dans la mémoire le souvenir d'une grande émotion, d'un fait historique, d'un crime célèbre, ou de tout autreexemple à suivre ou à éviter, n'était pas chose si niaise que cela nous parait aujourd'hui. Nous ne donnons plus ce soufflet à nos enfants; mais ils vont le chercher ailleurs, et la lourde main de l'expérience l'applique plus rudement que ne ferait la nôtre. Le jeune Karol de Roswald connut donc le monde et la vie de bonne heure, de trop bonne heure peut-être, mais par la théorie et non par la pratique. Dans le louable dessein d'élever son âme, sa mère ne laissa approcher de lui que des personnes distinguées, dont les préceptes et l'exemple devaient lui être salutaires. Il sut bien que dehors il y avait des méchants et des fous, mais il n'apprit qu'à les éviter, nullement à les connaître. On lui enseigna bien à secourir les malheureux; les portes du palais où s'écoula son enfance étaient toujours ouvertes aux nécessiteux; mais, tout en les assistant, il s'habitua à mépriser la cause de leur détresse et à regarder cette plaie comme irrémédiable dans l'humanité. Le désordre, la paresse, l'ignorance ou le manque de jugement, sources fatales d'égarement et de misère, lui parurent, avec raison, incurables chez les individus. On ne lui apprit point à croire que les masses doivent et peuvent insensiblement s'en affranchir, et qu'en prenant l'humanité corps à corps, en discutant avec elle, en la gourmandent, et la caressant tour à tour, comme un enfant qu'on aime, en lui pardonnant beaucoup de rechutes pour en obtenir quelques progrès, on fait plus pour elle qu'en jetant à ses membres perclus ou gangrenés le secours restreint de la compassion.

More Than Words features the work of more than twenty scholars from Canada and abroad on post-related topics. Drawing on recent trends in social and cultural history, these new essays address the history and importance of the post from such perspectives as infrastructure, technology, nation-building and interpersonal communications.

In his comprehensive work, 'Frederick Chopin, as a Man and Musician,' Frederick Niecks delves deep into the life and art of one of the most influential composers of the Romantic era. Niecks expertly combines biographical details with musical analysis to provide readers with a rich understanding of Chopin's legacy. The book showcases Niecks' meticulous research and deep appreciation for Chopin's works, making it a valuable resource for music enthusiasts and scholars alike. Niecks' elegant prose captures the essence of Chopin's music and his impact on the musical landscape of the 19th century.As a musicologist and historian, Frederick Niecks was well-equipped to undertake the task of exploring Chopin's life and music. His understanding of the cultural and artistic movements of the time enriches the narrative, offering readers a nuanced portrait of Chopin as both a man and a musician. Niecks' passion for his subject shines through in every chapter, making this book an engaging and enlightening read for anyone interested in classical music and Chopin's oeuvre.I highly recommend 'Frederick Chopin, as a Man and Musician' to music lovers, students of music history, and anyone seeking a deeper understanding of one of the most revered composers in classical music. Niecks' thorough research and insightful commentary make this book a must-read for aficionados of Chopin's timeless compositions.