1ERE PARTIE : DESCRIPTION DES CRITERES NECESSAIRES A L'EVALUATION DES PROJETS ELABORES POUR REPONDRE AUX DIVERSES RECOMMANDATIONS DE RECONNAISSANCE DU TRAVAIL DES FEMMES ET DE LEUR INTEGRATION AU "DEVELOPPEMENT". POUR EN ASSURER LA REUSSITE ET EVITER L'EXPLOITATION DE LA COMMUNAUTE CONCERNEE LA CONDITION SINE QUA NON EST DE FAIRE LE CHOIX D'UN DEVELOPPEMENT RURAL INTEGRE. DES FREINS ET OBSTACLES POLITICO-SOCIO-ECONOMIQUES MULTIPLES LORS DE LA REALISATION DES PROGRAMMES S'Y OPPOSENT CEPENDANT. 2EME PARTIE : SEULE UNE ANALYSE ECONOMICO-ANTHROPOLOGIQUE PERMET DE DECELER L'ORIGINE ET LES CAUSES DES DANGERS, SOUS-JACENTS, D'EXPLOITATION DE LA COMMUNAUTE CONCERNEE PAR LE "PROJET-FEMMES". C'EST, EN EFFET, EN BIAISANT LE PROCESSUS NATUREL D'EVOLUTION DES RAPPORTS DE PRODUCTION ET PAR LA DE LA DIVISION SEXUELLE DU TRAVAIL (COMPETITIVITE - COMPLEMENTARITE) CECI EN MODIFIANT OU EN SE SUBSTITUANT AU RAPPORT NORMAL DES FORCES SOCIALES QUE LES PREMISSES D'UNE EXPLOITATION POSSIBLE SE CREENT. 3EME PARTIE : L'ETUDE DE CAS, ILLUSTRATION DE LA VARIETE DE PROMOTEURS ET DE SAVOIR-FAIRE DANS L'ELABORATION DE PROJETS, NE CONSTITUE PAS UNE BASE D'ANALYSE EN SOI.

Le rapport confirme l’effet attracteur du Nigéria porté par sa démographie et son urbanisation croissante. Il propose le développement de politiques publiques innovantes fondées sur le renforcement du capital social féminin et des options politiques pour une meilleure intégration des diverses initiatives entreprises par les États, les organisations internationales et non gouvernementales en matière d’autonomisation et de renforcement de la résilience des femmes.